Vins

Un engouement et une concurrence planétaire

Qu'il s'agisse des cépages, des pratiques viticoles ou des modes de dégustation, le vin est en pleine phase de mondialisation.

Plus de 30 % de la production du globe ne sont plus consommés dans leur pays d'origine. Et la tendance générale est à la hausse de la consommation mondiale (+6,4 % sur 2003-2008), avec les plus forts taux attendus aux Etat-Unis (+28,6 %), en Afrique du Sud (21 %) et au Royaume-Uni (+15,7 %), où le vin grignote des parts de marché sur la bière.

Sur ce marché en ébullition, les producteurs du Nouveau Monde (Amérique du Nord et du Sud, Afrique du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande) montent en puissance face à ceux du Vieux Continent qui assurent encore les ¾ de la production, de la consommation et des échanges de vins mondiaux.

Dans un contexte où la culture traditionnelle du vin s'exporte aux quatre coins du globe – aujourd'hui on parle sauvignon au Chili, en Nouvelle-Zélande comme en France – , le marketing se doit de développer de vraies stratégies de marques, créer une offre différenciante. Face à des consommateurs avertis ou de nouveaux amateurs, il doit se faire plus séduisant, moderne, innovant.

Le packaging, outil de positionnement des vins

Pour relever le challenge de la mondialisation, le packaging est devenu une composante décisive de la stratégie marketing des viticulteurs.p>

Impact en linéaire, promotion des ventes, sécurité du consommateur, ouverture facile, protection physique des produits, lutte contre la contrefaçon, traçabilité, optimisation de la production… Ce sont autant de réponses que la technologie du sleeve peut apporter au marché du vin. Des arguments qui ont déjà conquis des marques comme Piper Heidsieck, Lanson, Castel, Chandon do Brazil, Georges Duboeuf ou Boisset.

Source Etude Vinexpo-IWSR/GRD, Onivins